Nombre de caractères minimum et maximum ( http://www.compteurdelettres.com/ ): Le minimum est de 5000 caractères, le maximum est de 8000 caractères ! Contraintes : Vous devrez inclure 3 personnages, DONT vous... mais ça ne devra pas être un récit à la première personne pour autant c: Sentiments : libre / fatidique dans le sens joyeux (une rencontre pour la vie) tout comme malheureux (qui change négativement votre vie) ! Autres : Bonne chance à vous, @Milkamiam & @Rym (peut-être que cette rencontre sera moi... ) ! Délais : Vous avez jusqu'au 10 juillet ! Il faut envoyer votre récit par message privé à BlueGhost
Texte 1:
Elle s'était levée comme chaque matin se dirigeant directement vers sa salle de bain pour y prendre une douche rapide mais suffisamment longue pour lui éclaircir les idées et réveiller son cerveau encore endormi. Elle resta quelques instants sous le jet de douche, la tête relevée, laissant les goutes d'eau s'abattre sur son visage et ses yeux clos. Après quelques minutes, elle sortit et s'enroula dans une serviette pour enfin se diriger vers sa chambre. Celle-ci était spacieuse : un grand lit trônait au milieu, simple mais confortable. Une grande armoire remplissait le mur de gauche tandis qu'un miroir était posé verticalement sur la droite. Elle se dirigea vers la fenêtre qui était positionnée en face de sa couche et regarda quelques minutes le peu de passants qui commençaient déjà à s'agiter en ce lundi matin. Elle aurait pu s'activer mais aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres, aujourd'hui Destiny ne se dirigerait pas vers la boîte où elle travaillait depuis peu comme correctrice pour une maison d'édition, Aby Romans.
Non, aujourd'hui était un jour bien spécial, car c'est le jour tant attendu, le jour qui fait rêver tant de femmes sauf elle, du moins elle n'avait pas les mêmes motivations, malheureusement. Elle chassa cette idée de sa tête, préférant ne pas y penser pour l'instant, si elle faisait ça c'était pour une raison bien précise et si elle devait arriver à son but, ses sentiments étaient facultatifs. Elle avait fait un choix : un choix qui n'était pas sans conséquences.
Elle se prépara et se regarda une dernière fois dans le miroir. Elle laissa échapper une grimace, la jeune femme n'aurait jamais dû mettre cette chemise beige qui malgré sa constitution légère et ample, épousait parfaitement la forme de ses seins. N'ayant plus le temps de se changer, elle enfila une paire d'escarpins, prit ses clés de voiture, son sac et une petite veste avant de se diriger vers la sortie en passant prendre son café glacé dans le frigo de sa petite cuisine. En touchant la serrure elle se rappela avoir oublié son portable dans le petit salon et c'est en jurant qu'elle partit en quatrième vitesse le chercher et de se dirigea enfin d'un pas pressé vers sa voiture.
Elle jeta des coups d'œil furtifs à sa montre : 9h15, elle était en retard, elle devait rejoindre cet homme avec qui tout allait commencer pour régler les derniers détails de la cérémonie, chose quelle aurait préféré éviter mais c'était obligatoire pour être crédible. En arrivant au garage, elle repéra assez vite sa voiture et s'y engouffra rapidement mais avant qu'elle ne puisse mettre le contact elle sentit son téléphone vibrer et c'est en insultant qui l'appelait un moment pareil qu'elle décrocha non sans un agacement. Sans lui laisser une seule seconde son interlocuteur démarra la discussion.
« Coucou ma belle ! Alors comment tu te sens ? Tu n'es pas trop stressée ça va ? demanda une voix douce et inquiète au bout du fil. - Bonjour Alice, répondit-elle de façon neutre. - Toujours aussi joviale ma chère Tiny, pesta gentiment son interlocutrice. »
Alice était une des rares personnes à avoir su cerner Destiny quand elle était arrivée à Boston il y a 5 ans, quitter ainsi Seattle, l'endroit où elle avait passé toute son enfance.
Depuis, Alice est devenue l'amie avec qui Destiny a su retrouver une part d'humanité. Avec elle, elle se sentait de nouveau comme quand elle avait 17 ans, comme si tout son passé n'avait plus lieu d'être.
« Alo la terre appelle Tiny ! Tu m'ignores ou c'est comment ? s'indigna Alice à l'autre bout du fil. - Non j'étais juste dans mes pensées, en plus je dois vite me dépêcher si je ne veux pas arriver encore plus en retard, se justifia la noiraude non sans jeter un regard à sa montre qui indiquait désormais 9h26, elle était définitivement en retard si elle prenait en compte les embouteillages. - D'accord je te laisse, on se retrouve là-bas ! J'ai hâte de pouvoir te voir dans ta belle tenue, s'extasia la petite blonde d'une voix enjouée. »
C'est ainsi qu'elle raccrocha et qu'elle se dépêcha de se rendre à ce rendez-vous.
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Elle marchait d'un pas assuré sur ce tapis blanc limité des deux côtés par un alignement de roses rouges que cet Homme avait fait installer spécialement pour elle, lui affirmant que les roses rouges étaient le fruit de son amour pour elle. Alors elle détesterait les roses rouges à partir de maintenant.
Les personnes présentes se retournaient sur son passage et souriaient alors qu'elle n'en connaissait aucune. Elle put néanmoins apercevoir sa seule amie debout vers l'avant et qui elle aussi la regardait d'un sourire rayonnant, n'était pas au courant des plans de Destiny et croyant que celle-ci le faisait par amour. La cérémonie qui allait sceller sa vie avait lieu en pleine nature dans un petit espace avec des chaises blanches tout le long du tapis qui donnait sur un petit coin intime recouvert par-derrière d'un voile transparent et possédant un rideau blanc accroché sur les deux extrémités par des rubans rouges. Le tout accompagné de deux petites tables blanches hautes où siégeaient deux grands bouquets de roses rouges et blanches. Il avait choisit l'endroit, le trouvant romantique et parfait pour symboliser leur amour.
Arrivée à sa hauteur, elle se mit en face de lui et vit à travers le voile qui cachait son visage qu'il lui souriait tendrement, un sourire qu'elle ne pourrait s'en doute jamais lui rendre. Alexandre était un homme de 30 ans qui avait réussi sa vie et travaillait dans l'entreprise de son père comme vice-président. Il avait la carrure imposante mais le visage tendre qui dégageait tant d'amour. Ses cheveux couleur de blé s'accordaient parfaitement avec ses yeux d'un vert émeraude qui feraient chavirer le coeur de n'importe quelle femme, n'importe laquelle sauf elle. Elle, elle avait un but bien précis et elle devait l'atteindre, quitte à blesser cet homme à qui elle allait jurer fidélité pour le restant de sa vie mais avec qui elle ne serait jamais honnête.
Perdue dans ses pensées, elle entendit à peine le prêtre finir son discours, ce même discours qu'elle entendait dans les films à chaque fois et qui l'ennuyait toujours autant.
« ...Le mariage suppose que les époux s’engagent l’un envers l’autre sans y être forcés par personne, se promettent fidélité pour toute leur vie et acceptent la responsabilité d’époux et de parents. Est-ce bien ainsi que vous l’entendez monsieur Alexandre Hastings ? demanda le prêtre en se tournant vers Alexandre. - Oui mon père, répondît ce dernier d'un ton assuré. - Et vous mademoiselle Destiny Clarks, est-ce ainsi que vous l'entendez ? demande-t-il en se tournant cette fois-ci vers Destiny. - Oui, se pressa de répondre Destiny. »
Elle avait le regard perdu au loin sur la verdure qui s'échouait à perte de vue, les rideaux étants inexistants sur ce côté-là, elle regarda quelques instants et eut à peine le temps d'entendre le prêtre les proclamer mari et femme et demander au mari d'embrasser sa femme qu'elle sentit les mains robustes de l'homme qui était à présent son mari lui prendre la joue et l'attirer vers lui, posant délicatement sa main sur sa hanche droite. Il posa tendrement sa bouche sur la sienne et Destiny ferma les yeux comme pour se donner du courage.
Quand elle rouvrit les yeux une seconde plus tard, pendant un bref instant elle aperçut au loin, dissimulé derrière des arbres, une silhouette qui lui était familière. En clignant plusieurs fois des paupières, un corps qu'elle ne pourrait jamais oublier se dessina clairement sur son champ de vision et c'est là que son coeur cessa de battre, sa respiration se bloqua et elle sentit un vertige la prendre. Elle devait sûrement rêver, c'était inconcevable. Que faisait-il là ? N'était-il pas censé avoir disparu il y a 6 ans de cela ? Elle n'en croyait pas ses yeux et pourtant, la personne au loin était bien celle à laquelle son esprit avait vagabondé pendant des années, celle que son coeur avait voulu oublier coûte que coûte.
Ses yeux noirs fixaient les siens et elle put y déceler de la rage, de l'impuissance mais aussi un désir fulgurant. Elle s'attarda malgré elle quelques secondes sur ce corps, où elle avait jadis fantasmé : ses cheveux noir de jais qu'elle avait adoré toucher et ce visage d'ange pourtant devenu plus viril avec les années où trônait une barbe qui avait dû être négligée depuis quelques jours. Vêtu de vêtements classes mais mis n'importe comment à la rage avec une chemise blanche rentrée maladroitement dans un pantalon en jean noir et une cravate mal nouée.
Cet homme était et resterait sûrement l'un de ses plus grands fantasmes mais en ce moment même le revoir n'avait fait que faire chavirer son cerveau et les objectifs qu'elle s'était fixé depuis maintenant 5 ans. Cet Homme qu'elle avait tant aimé et pour qui elle avait versé tant de larmes, cet homme qui lui avait fait tant de promesses, cet homme pour qui elle avait juré de ne plus jamais ressentir quelque chose. Cet homme qui l'avait détruit et qui revenait ainsi au moment où elle devait faire le choix le plus dur, le geste le plus difficile mais aussi le plus juste. Oui, même si le revoir venait de la chambouler et de la secouer de toute part, il était hors de question qu'il s'interpose entre elle et son plan, il en était hors de question.
En 5 ans, elle avait passé deux années à récupérer de son ancienne vie et à réfléchir à comment s'organiser pour enfin mettre en œuvre un plan qui lui permettrait d'assouvir sa vengeance, une vengeance qui aurait dû s'accomplir il y'a des années déjà. Les trois dernières années, elle s'était prise en main en essayant de chasser de sa tête cet homme qui l'avait quitté sans rien dire. Elle avait trouvé un travail convenable et avait commencé à se soucier de son apparence tout en mettant en place son plan et dans celui-ci, Aedan n'avait aucune place, il n'y avait jamais été et peu importe ce que le voir à pu faire naître en elle, il était hors de question qu'elle perde de vue son objectif après ces retrouvailles, pour un homme qui l'avait abandonné pour fuir. Ça jamais.
Note de l'auteur :
Il existe une version avec plus de détails sur Destiny et Alice car ce passage à été supprimé pour permettre de rentrer dans le nombre de caractère requis ^^ bonne lecture !
Texte 2:
Une demoiselle, mal coiffée, l'air fatigué avec des yeux bouffis, rougis et gonflés de larmes marchait dans la rue, l'air pressée et inquiète. Ses yeux naviguaient à droite et à gauche, sans cesse, hyperactifs, comme si elle s'attendait à recevoir un danger imprévisible de n'importe quel côté. Pourtant, dans ce quartier très fréquenté, et pas vraiment réputé pour être mal famé, tout le monde pensait pouvoir passer inaperçu. Cette jeune femme souhaitait juste s'asseoir dans son coin habituel, regarder les gens passer et voir les plus généreux déposer une pièce ou deux à ses pieds, sans même lui lancer un regard. Ce statut ne lui convenait pas. Elle aimait se sentir importante, et elle était une moins que rien dans ce monde qui ne lui avait pas laissé le choix. Alors, elle attendait que la chance arrive face à elle pour qu'elle s'en empare, et soit élevée au sommet, quittant sa condition de clocharde, et n'ayant plus à subir les regards médisants et les coups de certains passants, lorsque minuit était passé.
Il était tôt, pour l'instant. Peut-être sept, ou huit heures du matin. Les gens, bien habillé en costume ou dans une jupe bien trop moulante pour être décente se dirigeaient vers le métro pour aller travailler. Ils passaient hâtivement devant la femme assise et appuyée contre le mur, priant intérieurement pour qu'elle ne leur fasse pas perdre du temps en réclamant un billet ; mais elle n'aurait jamais fait ça. Les choses viendraient à elle, elle en était persuadée. Je ne peux pas être malchanceuse toute ma vie, c'est impossible, assurait la jeune femme pour elle-même.
Ses yeux la piquaient. Ses cheveux bruns, naturellement ondulés étaient bien trop mal soignés, bien qu'elle s'efforçait de les peigner avec ses doigts comme elle le pouvait chaque jour pour ne pas faire peur aux gens. Ses cernes formaient un arc-de-cercle étendu sur une bonne partie de sa peau, et elle ne se cachait même pas qu'elle devait faire peur à voir. Elle se glissa dans l'enfonçure que l'architecture du bâtiment derrière elle formait pour s'allonger ; elle rabattit la capuche de son sweat-shirt sur sa tête, et ses paupières se refermèrent.
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Il n'y avait pas de réveil calme dans la rue. Une bagarre, un passant agressif, la sirène de l'ambulance, un chien qui montrait les crocs ; c'était habituel, et même anormal de ne pas subir ça. Pourtant, cette fois-ci, c'était un homme qui, en se tenant debout, faisait de l'ombre à la jeune femme et avait troublé son sommeil. Elle cligna plusieurs fois des yeux, un peu perdue dans son environnement avant de se frotter les yeux et de s'étirer. Sans même bouger son corps, elle tourna sa tête vers la personne qui l'ombrageait, les yeux plissés. Il semblait être comme les autres. Ses vêtements étaient un simple jean et un sweat noir. Il avait, à vue d’œil, entre vingt et trente ans bien que sa courte barbe brune le vieillissait. Son regard était parfaitement inexpressif, mais se voulait bienveillant. Le jugeant inoffensif, la jeune femme rompu le contact visuel pour se redresser. Elle hésitait à se rendormir, mais l'homme choisit pour elle en prenant la parole.
— Salut, moi c'est Matthieu.
Qu'est-ce qu'il me veut ? songea-t-elle, confuse. Pourquoi cet homme s'intéresserait-il à elle ? Elle ne tarda néanmoins pas à répondre, croyant à sa bonne étoile – peut-être était-ce la chance qu'elle attendait tant ?
— Marie, répondit-elle simplement, mais pas froidement.
— Ça fait combien de temps que tu es à la rue ?
Elle n'en avait aucune idée. Elle ne comptait plus les jours qui passaient depuis bien longtemps, et elle se sentait faible face à cette question. La femme était jeune, bien trop pour être à la rue ; mais cela faisait longtemps qu'elle était dans cette situation, au point qu'elle était incapable de se situer dans le temps. Elle resta donc en silence, se sachant pas quoi répondre, et sa tête se baissa sous le poids de sa situation.
— Je vois, se contenta de murmurer Matthieu. Je pense que je sais comment t'aider, Marie.
Intéressée, elle releva soudainement la tête. Elle ne s'était donc pas trompée : elle allait pouvoir sortir de ce monde, et trouver peut-être une gloire ailleurs. Elle abandonna complètement l'idée de s'endormir et se releva comme un enfant excité à l'idée de connaître son cadeau.
— Comment ? s'empressa-t-elle de demander.
— J'ai juste besoin que tu me fasses confiance. Suis-moi, si tu veux tenter l'aventure.
Quand on est à la rue et qu'une opportunité s'offre à nous, même sans connaître les détails du contrat, on se jette dessus. Alors, qu'il y ait une confiance ou non, Marie s'en fichait. Elle était prête à faire n'importe quoi pour avoir un lieu où dormir et de la nourriture. Une véritable sécurité.
Elle prit les quelques pièces qui traînaient par terre qui lui avaient été données et la bouteille d'eau qui lui restait et suivit l'homme comme son ombre.
Ils marchèrent longtemps dans les rues ; l'homme semblait connaître l'endroit comme dans sa poche et était assuré dans sa démarche. On aurait dit qu'il avait fait ce trajet toute sa vie, ou au moins une bonne partie. Marie, qui n'avait pas l'habitude de s'aventurer dans ces coins-là, observait attentivement, sans se poser de question. Au bout de quelques minutes, ils entrèrent dans un bâtiment.
Si le hall d'entrée était plutôt calme, lorsqu'ils s’avancèrent dans une nouvelle pièce, quelques femmes aux corps quasi-dénudés traînaient autour, semblant pressée. Où était-elle tombée? Elle avait presque envie de s'enfuir, mais Matthieu l'avait attrapée par le bras et la serrait contre elle, comme un piège qui se refermait autour de son corps frêle. Elle regrettait presque les nuits dans la rue lorsqu'elle avançait dans cette pièce imprégnée de l'odeur de cigarette. Quelques pièces plus tard et un étage plus haut, Matthieu la fit entrer dans une pièce après avoir frappé à la porte.
— Assieds-toi.
Elle obéit, n'étant pas en situation de le contredire. Le siège était de loin le support le plus confortable auquel elle avait eu accès depuis son adolescence. Il recula, se dirigeant vers la sortie, et la laissant seule ici.
— Tu vas où ? demanda Marie, en proie à une panique nouvelle.
— Tu dois faire tes preuves avec mon patron, répondit-il calmement.
Son regard n'était plus bienveillant du tout. Il exprimait tous les vices et l'impassibilité de l'homme face à la souffrance des gens. Marie n'avait été qu'un pion de plus. Un peu d'argent à se mettre dans les poches.
— Bienvenue dans le milieu de la prostitution, ajouta-t-il avant de fermer la porte derrière lui.
Quelques minutes plus tard, un homme rentra dans la pièce, le regard brillant de perversité, malsain, alors que Marie n'avait pas encore complètement réalisé. Comment sa chance avait pu se dévoiler être, en réalité, une telle malchance ?
Myria Léviathan des Nymphes
Messages : 4603 Date d'inscription : 04/06/2016 Age : 23
C'est pas grave si je dépasse un peu du genre 9000/9500 mots @BlueGhost ? Ah et rencontre fatidique on peut le retourner à notre sauce et faire du genre "retrouvailles fatidiques" ? Genre depuis 5/6 ans que les personnes ne se sont pas vues
BlueGhost Lion des mers
Messages : 732 Date d'inscription : 13/08/2016 Age : 23
Coucouuu ! HUUUUUUUUUM (/vais-je faire mon méchant Narval ?/)... non, pas grave (pas plus par contre) !! :)
Hum... je voyais pas ce sujet comme des retrouvailles, vraiment une rencontre, une première rencontre :/ Ou alors des retrouvailles, certes, mais imprévues (du style tu le vois en coin de rue, t'as les yeux qui brillent, OMONDIEU CA FAIT HYPER LONGTEMPS /o/) :x
Myria Léviathan des Nymphes
Messages : 4603 Date d'inscription : 04/06/2016 Age : 23
Edit : OMG je me suis laissée allée à mon imagination ça a donné 11650 caractères :lapin12: Je vais voir quels passages supprimer
AH OUI va falloir sacrifier quelques passages :s (si tu veux, tu pourras m'envoyer ton texte réglementaire + la version complète, et je mettrais les deux versions pour le plaisir des lecteurs :lapin13: )
Myria Léviathan des Nymphes
Messages : 4603 Date d'inscription : 04/06/2016 Age : 23
Okey, bon j'ai réussi à descendre à 9575 xD Par contre si @Milkamiam est d'accord on peut peut-être avancer la date finale du combat ? Si on prend en compte ce dont il a été question partie staff sur le bassin, ce serait dommage d'avoir fait ces textes pour rien
BlueGhost Lion des mers
Messages : 732 Date d'inscription : 13/08/2016 Age : 23
Coucou, petit DP. @Gaïa tu pourrais reprendre ce duel ? Je vais faire mon texte dans la journée normalement. (et du coup @Myria il faudrait renvoyer ton texte)
Myria Léviathan des Nymphes
Messages : 4603 Date d'inscription : 04/06/2016 Age : 23
Sondage lancé, venez votez et n'hésitez pas à venir commenter ! Et j'en profite pour venir saluer la prestation de ma chère @Myria, je m'abstiendrais de voter mais comme d'habitude, tu ne me déçois pas Que la meilleure gagne :D
Myria Léviathan des Nymphes
Messages : 4603 Date d'inscription : 04/06/2016 Age : 23
Ahh j'adore ton texte @Neyka ! Je me sens pathétique avec le mien car il faut vraiment faire travailler ses méninges pour comprendre le sens de la rencontre fatidique que j'ai voulu donner x') Félicitations !